Côte d’Ivoire / Ouverture à Abidjan de la 2ème édition des Assises Internationales des Médecines Traditionnelles

Côte d’Ivoire / Ouverture à Abidjan de la 2ème édition des Assises Internationales des Médecines Traditionnelles L’UFR des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques de l’Université Félix Houphouët Boigny d’Abidjan, abrite depuis ce lundi 16 septembre et jusqu’au mercredi 18 septembre, l’édition 2024 des Assises Internationales des Médecines Traditionnelles. <><> La cérémonie d'ouverture a enregistré les participations de plusieurs personnalités, parmi lesquelles, le Directeur de la Recherche et de l'Innovation du Ministère en charge de la Recherche Scientifique, Koné Tidiani, l'Ambassadeur de l'Inde en Côte d'Ivoire, SEM Rajesh Ranjan, la Directrice Régionale de l'Agence Universitaire de la Francophonie en Afrique de l'Ouest, Professeure Ouidad Tebbaa, le représentant de IRD-UMR CESSMA, Docteur Jean-Yves Moisseron. <><> « L’intégration des Médecines Traditionnelles aux Médecines Modernes : Une nécessité pour Onehealth ? » ; c’est autour de ce thème que se réuniront durant trois jours des participants venant de tout le continent mais aussi plusieurs experts dont ceux de l’ASACAD de Côte d’Ivoire et de l’ANSTS du Sénégal. <><> L’objectif de cette rencontre pour ces participants, c’est d‘échanger sur ce qui pourrait être pris en compte au niveau de la médecine traditionnelle et qui pourrait venir renforcer le système de santé africain, voir mondiale. <><> « Selon l’OMS la médecine traditionnelle est celle qui vise un peu plus de 80 pourcents des populations africaines. Ce qui montre tout l’intérêt de ces deuxièmes assises. » A indiqué le représentant du Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, le Directeur Générale de la Recherche et de l’Innovation, Koné Tidiani, et de poursuivre ; <><> « Malgré cette importance qu’on a soulignée, la place de la médecine traditionnelle à côté de la médecine moderne, demande qu’on s’y intéresse. Nous, au niveau du Ministère, on se dit est-ce qu’il n’y a pas lieu de faire en sorte que les chercheurs accompagnent ce système de soins, est-ce qu’il n’y a pas lieu que les chercheurs travaillent à légitimer ce système de soins en termes de modalités scientifiques et en termes de communications scientifiques. » <><> Au programme de ces trois jours, une journée académique organisée par le réseau des Académies Africaines des Sciences qui se fera en collaboration avec l’ASCAD ET L’ANSTS ainsi que plusieurs sessions animées d’éminents experts. (ndk)

A voir egalement