Côte d'Ivoire / Contribution des Entreprises Françaises dans le développement du pays : les résultats d'une étude au centre d'une rencontre organisée à Abidjan

Côte d'Ivoire / Contribution des Entreprises Françaises dans le développement du pays : les résultats d'une étude au centre d'une rencontre organisée à Abidjan Le Comité des Conseillers du Commerce Extérieur de la France en Côte d’Ivoire a initié une étude sur les entreprises françaises présentes en Côte d’Ivoire, leur contribution à l’économie ivoirienne et leur rôle dans la RSE.******** Réalisée en collaboration avec différentes entités dont l’Ambassade de France en Côte d’Ivoire, Eurocham, la Chambre de Commerce et d’Industrie Française en Côte d’Ivoire et le Cercle Français des Affaires, les résultats de cette étude ont été présentés le jeudi 23 novembre à Abidjan, au cours d’une rencontre à laquelle ont pris part plusieurs personnalités. ******** Parmi lesquelles ; le ministre du commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, le ministre de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle, N’Guessan Koffi, l’Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Jean Christophe Belliard.********Combien sont-elles ? Combien d’emplois créent-elles ? Quels investissements ? Cette étude montre clairement l’impact des entreprises françaises dans l’économie ivoirienne mais aussi dans le social.******** Avec plus de 300 filiales réparties sur l’étendue du territoire ivoirien et avec un vaste réseau de 700 entrepreneurs français, les opérateurs économiques français sont de loin, les principaux investisseurs en Côte d’Ivoire.******** L’étude démontre aussi que les entreprises françaises installées en Côte d’Ivoire sont engagées sur le long terme et poursuivent leurs investissements matériels et immatériels, tout en participant activement au développement du pays.******** « Quand vous avez par exemple une entreprise qui construit une route, c’est bien de construire une route mais c’est encore mieux de prendre les travailleurs qui construisent la route et leur apprendre à conduire les engins pour qu’ils puissent demain construire une autre route et acquérir une compétence. » A indiqué l’Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, et de poursuivre ;******** « C’est cela l’idée, c’est la question des capacités humaines et de la formation professionnelle, de donner à cette Côte d’Ivoire qui est stable, un pays qui se développe avec des taux de croissance très impressionnants, un petit plus. Et nos entreprises ici, non seulement participent au développement économique de la Côte d’Ivoire mais je crois aussi qu’elles participent au développement social. Et cela nous semblait important de faire le point là-dessus. » ******** Le ministre en charge de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle, N’Guessan Koffi, a salué l’appui de la France notamment dans les domaines de la formation et dans la mise en conformité de certains programmes de formation.******** « Concernant l’Ecole de la deuxième chance, nous avons discuté avec les entreprises françaises pour identifier leurs besoins et ayant connu les profils, nous avons signé avec des partenaires en France. » A-t-il indiqué puis d’ajouter ; ********« Avec l’appui de son excellence l’Ambassadeur de France, des jeunes ivoiriens ont pu bénéficier de situations confortables. Ils ont obtenu facilement le visa, sont allés en France pour se faire former et sont revenus en Côte d’Ivoire. Et aujourd’hui je peux vous certifier que tous ces jeunes sont dans des entreprises françaises, qui nous ont aidés dans le montage de ce projet. »********Pour sa part le ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, s’est félicité de la tenue de cette rencontre.******** « Ce qui est intéressant c’est que la plupart des entreprises intègrent les problématiques de durabilité, de traçabilité, de protection de l’environnement, de la responsabilité sociétale, environnementale et de la RSE dans leurs dispositifs entrepreneuriales. » A-t-il souligné et de poursuivre ;******** « Ce qui permet au-delà de la recherche intrinsèque de profits, de bâtir des organisations sociales stables qui transforment nos ressources humaines en capital humain par des investissements appropriés à travers la promotion et également qui contribuent à la protection de l’environnement. Je pense que ce sont des éléments importants qu’il faut noter. » (ndk)

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